Belle, sensible, lumineuse, telle apparaît Apollonie Sabatier lorsqu’elle accueille chaque dimanche ses amis : Flaubert, Musset, Théophile Gautier, et bientôt Charles Baudelaire, jeune poète à peine connu. Des lèvres minces qui ne sourient guère, un regard anxieux, la réplique acerbe. On sait son tourment : Jeanne Duval, la “Vénus noire” qui fut sa maîtresse. Pour lui, Apollonie sera “l’Ange, la Muse et la Madone” et, bientôt, elle reçoit des poèmes exaltés et sublimes. Elle est émue, troublée... Vaincue enfin, et heureuse, mais aussitôt brisée. Hier “divinité”, elle n’est plus à présent qu’une femme. Baudelaire rompt, par crainte et horreur de la passion. Un amour déchirant, impossible... et quelques-uns des plus beaux poèmes jamais écrits.
La vie adulte est une période de transformation. Y-a-t-il une crise de la quarantaine ? Existe-t-il des phases de développement chez l'adulte comme on en décrit chez l...
Comment, dans les relations humaines, les impasses apparaissent-elles ? Qu'est-ce qui fait que, souvent, nos tentatives de provoquer un changement ne font que nous emmure...